Voici d’autres petites anecdotes qui sont venus ponctuer notre séjour au Népal.
Comme vous le savez, au Canada la conduite se fait à droite. Donc, lorsque je marche sur le trottoir et que je croise quelqu’un, instinctivement je vais l’éviter par la droite, ce que normalement l’autre personne va faire de son côté, évitant ainsi la collision. Or, comme au Népal la conduite se fait à gauche, les gens ont le réflexe inverse. Ça m’a pris du temps à comprendre pourquoi j’entrais continuellement en collision avec les gens dans la rue!!!
Au Népal, la rumeur coure qu’il y a trois prix : celui pour les Népalais, celui pour les réfugiés Tibétains et celui pour les étrangers. Vous l’aurez compris, le prix monte à chaque groupe. Pour cette raison, je restais souvent derrière lors de la négociation et je me pointais le nez lorsque le prix était fixé, comme la fois où je revenais de Syafru Bensi où mon ami moine a trouvé un taxi pour moi. La gueule du chauffeur quand il m’a vu embarquer dans son auto! Ou l’autre jour quand j’ai croisé trois occidentales discuter avec le proprio d’un café. « Quoi!?!??! 50 roupies pour un chai??? » (Il en coûte 10 roupies normalement…).
Nous sommes à l’entrée d’un monastère et il y a un mendiant dans le coin qui se tient tranquille. Je m’achète un chip et un coke et je m’installe sur le bord du trottoir. En ouvrant le sac il s’approche de moi et me fais signe de lui donner quelques chips. Il a même un petit verre de plastique pour avoir un peu de coke! Les paquets de chips « grand format » sont appelés là-bas « format à partager ». Faut bien suivre les instructions sur les paquets non?
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