jeudi, avril 26, 2007

Un mot sur le conflit au JdeQ

Je ne connais pas grand-chose du conflit qui a mené au lock-out des journalistes du Journal de Québec (JdeQ). Je ne lis que très rarement ce journal et pour tout vous dire, je ne suis pas du type syndicaliste, bien au contraire.

Par contre, comme citoyen, je trouve déplorable, archaïque, dépassé et minable de voir des syndicats faire valoir leurs revendications en vandalisant leurs employeurs ou en prenant la population en otage, comme ces employés de Vidéotron qui avait coupé les câbles ou ces professeurs qui annulent les sorties culturelles.

Bref, il faut avoir un peu plus d’imagination de nos jours et en réfléchissant un peu, il existe toujours un moyen de faire ch*** un patron, sans rien briser, tout en rendant sympathique notre cause auprès de la population, comme ces policiers qui faisait le plein des voitures de patrouille avec du super.

C’est ce qu’à réussi les journalistes du JdeQ, en utilisant leur fond de grève pour publier leur propre journal durant le conflit et en le distribuant gratuitement à la population.

Bravo! Ils font directement compétition à leur employeur, SANS RIEN BRISER (j’insiste), et ils permettent à la population de comparer la qualité du JdeQ pendant leur absence.

Uniquement pour cette raison, les syndiqués du JdeQ ont mon appui.

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